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Dubo, dubon, Dobrovnik !

Dubrovnik, forte comme un chêne

 42°40'2N 18°07'8E

 

Nous ne pouvons pas quitter la Croatie sans visiter la célèbre « perle de l’Adriatique »

Elle doit son nom aux forêts de chênes verts qui abondaient dans la région.

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Les somptueux palais et la multitude d’églises témoignent des grandes heures de la république de Raguse – Raguse et Dubrovnik ont comblé le bras de mer les séparant au XIème  siècle.

 

 

 

 

 

Le système de fortifications est impressionnant.

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En 1667 un violent séisme a détruit presque tous les monuments, seuls les remparts ont résisté à la catastrophe, et la cité a été reconstruite dans le style baroque. 

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La placa (grand rue) est faite de pavés larges et brillants et bordée de commerces.( c’est en fait le chenal comblé au XIème siècle)

 

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05 10 Croatie Dubrovnik (121).JPGon trouve même une statue de Roland avec sa Durandal !!!

 

 

Comme chacun le sait, en 1991 & 1992 la ville fut la cible de quelque 2000 obus. Presque toutes les toitures ont été détruites, les façades ont subis de nombreux impacts directs. Aujourd’hui Dubrovnik semble avoir retrouvé sa splendeur originelle, les dégâts ayant été réparés grâce à une aide internationale, mais les toits de tuile n’ont pas retrouvé leur couleur rose originale (trop de temps pour les refaire à l’ancienne- modelage « sur la cuisse »), pour la petite histoire, les tuiles les plus proches en couleur ont été fournies par Agen –cocorico ?-

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05 10 Croatie Dubrovnik (91).JPGPartout des statues à l’effigie de St Blaise, patron de la ville.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le beau cloître du monastère dominicain05 10 Croatie Dubrovnik (132).JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le monastère franciscain abrite la plus ancienne pharmacie de Croatie.

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 Le vieux port où valsent les bateaux de pêche... et les navettes qui deversent leur cargaison de touristes venus des paquebots mouillés dans la baie !

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Le temps chagrin et pluvieux nous retient un soir dans le carré à jouer au tarot !

Visite nocturne.

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Flagrant délit de gourmandise…

 

 

 

 

 

 

« Dovigenia Croatia !» (adieu !)

Nous sommes déjà le 06 juillet. D’un commun accord, les équipages de Vanille et Tubalcain décident de rallier directement la Grèce pour prendre enfin le temps de ne RIEN faire !

La Croatie semble chagrinnée par notre départ !!!

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Tubalcain devant Dobrovnik

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205 milles et 40h de mer, la plupart du temps au moteur hélas, pour cause de pétole … et voici Corfou qui se profile à l’horizon.

Mais Vanille se promet de revenir flâner dans la multitude des îles croates très bientôt !

 

Naviguer en Croatie :

Les marinas, bien équipées, sont fréquentables du lundi au jeudi, mais à éviter le WE à cause des bateaux de location : il n’y a souvent pas de place… de plus elles sont chères - +70 € pour 11m-

Les mouillages sont nombreux et gratuits sauf dans les réserves et lorsqu’il y a des corps-morts (installés par les restos comme je l’ai expliqué plus haut) mais cela correspond au prix d’un repas après tout on n’est pas perdants !!! (évidemment si on est nombreux à bord cela multiplie le prix…)

L’accueil est cordial  : les Croates n’ont pas l’air très expansifs, mais nous n’avons pas eu l’occasion d’en fréquenter en dehors  des marinas ou des restaurants. C’est dommage mais la pratique du Croate n’est pas encore au point !!!

Les vents dominants sont du nord, sauf lorsqu’on redescend, ils tournent comme par hasard au sud : c’est un phénomène bien connu des navigateurs ! comme toujours en méditerranée ils sont nuls ou très forts la plupart du temps : un bon moteur et un bon guindeau sont des équipements indispensables.

La grande majorité des bateaux sont en location : des équipages allemands (que des mecs souvent-des "vieux" retraités"...-), des autrichiens ou des monténégrins mais peu de français ou italiens en juin.

Nous souhaitons beaucoup de bonheur à ceux qui projettent d’y naviguer.

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