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voile - Page 7

  • tout finit à Finike

    Nous quittons Marmaris et nos amis Simo et JY pour  la baie de Göçek par une belle journée ensoleillée (eh oui, toujours) pour une étape à Ekinçik

       Oh rage

    Le lendemain, départ sous le ciel gris. Au loin l’orage gronde. Va-t-on y échapper ?

    Le vent est capricieux, on enroule le génois, on déroule le génois, vent de face, vent portant au gré des caps …

    Ça y est, l’orage est sur nous, le vent monte à 30nds, un ris, deux ris, une polaire, un KWay, ça mouille un peu mais la mer n’est pas très agitée. Au bout d’1/2h  ça se calme. La pluie nous accompagnera jusqu’à Göçek. L’été serait-il terminé ? cette nuit on mettra le drap !

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    Un mouillage sous la pluie ? bof, non, je préfère le port ! 

     L’Arnaque

    Le soleil est revenu, en route pour la crique Tersane : la baie regorge de mouillages et de criques plus ou moins secrètes, il faut choisir, dur, dur.

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    La passe ne fait que 50m de large mais comme partout en méditerranée c’est profond. Quelques places de mouillage, occupées par les gullets, au fond c’est occupé par les rochers, on ne va pas leur disputer la place, reste le ponton…

    Peu de monde on va être tranquilles ! Et bien non, une flottille de bateaux de loc. est annoncée : rien que des hollandais… et, cerise sur le gâteau : ponton = resto, ça on savait, mais resto = arnaque ça on s’y attendait moins – jusqu’à présent c’était convenable et d’un prix raisonnable-

    -         on vous avait pourtant prévenus

    -         oui, Simo, JY, mais on a mal écouté et nos esprits engourdis (ah bon ? par quoi ?) n’ont pas imprimé que c’était là précisément…

     en attendant l'endroit est joli, gardé par les boucs !

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    ruines antiques

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    Chantilly ?

     

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      on se fait une autre crique ?

    OK mais pas de ponton cette fois.

    Le site sauvage de Tomb Bay nous plaît bien, des falaises escarpées où les pins sont accrochés comme des berniques sur un rocher, des tombes lyciennes creusées dans la roche volcanique, peu de bateaux. Allez on mouille !

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    Oui, mais les fonds sont… profonds :15 m à 30m du bord. Bah il n’y a pas de vent, la météo s’annonce clémente. 

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    Petit tour à Fethiye

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     marché aux poissons

     

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    Retour aux sources :

    Nous voici au mouillage de Boynuz Bükü que nous avions innové en mai avec Agapanthe. Nous y retrouvons Jane et Ray de Serendipity.

     

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     Beaucoup de mouillages possèdent une source au fond, ici c'est carrément une petite rivière, bordée de roseaux.

    Excellente soirée en bonne compagnie de Jane et Ray -anglais mais extrêmement sympa,oui- et sans moustiques : le resto voisin a la bonne idée d'enfumer tous les soirs les charmantes bestioles afin de leur faire comprendre qu'ils doivent aller chercher leur casse-croûte ailleurs !

    Nous décidons de rester là un jour de plus pour profiter du calme de la baie

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    au fond, passage entre deux îles distantes de 50m

     

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    les beaux sites ne manquent pas dans cete baie: de quoi passer du temps de mouillages en mouillages : on y emmènerait bien nos enfants et petits enfants...l'an prochain ??

     

     

     

     

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    Last but not least 

    notre dernier mouillage de la saison : de quoi nous faire regretter de rentrer, il fait si beau ! où sont les orages prévus en cette saison ? La baie de Kekova dont nous avions déjà goûté les charmes au départ a vraiment notre préférence : plus sauvage? pas de grand port à proximité ? 

    Uçagiz, sur la voie lycienne

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    la magie de Kaleköy et son chateau

    Accroché à la pente rocheuse que coiffent les remparts d'un chateau byzantin, le petit village de Kaleköy. 

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    tombeau lycien lèché par les flots

     

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    au revoir et à bientôt Kekova...

      

     le 19/10/12 nous voici de retour à FINIKE; rinçage des voiles, grand nettoyage et petits bricolages de rigueur, entrecoupés de bains et de discussions avec les voisins. Dimanche, notre premier BBQ avec une cinquantaine de plaisanciers qui passent l'hiver ici. On s'informe...

    Le temps est toujours beau et chaud - il paraît que ça dure jusqu'en décembre et qu'ici il y a un micro climat qui protège la ville de la pluie. 

    Le retour en France est prévu début novembre...

    Euh, t'es sûr qu'on rentre  ?

    FIN


     

     

  • non, ce n'est pas un gros mot !

       Pétole sur Çiftlike

     Nous faisons maintenant route plein Est, ça sent le retour au bercail. Pas un souffle de vent dans nos cheveux ébouriffés… la pétole, quoi !

    A 10 milles à l’Ouest de Marmaris nous attend une jolie crique encaissée entre les falaises, un peu enlaidie par un horrible hotel. Les fonds sont rocheux et nous ne voulons pas retenter l’expérience de Symi. Heureusement les pontons sont légion qui attirent le plaisancier à grand renfort de drapeau agité avec énergie !

     

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    Notre choix se porte sur le plus à gauche et le plus éloigné de l’hôtel et de sa boite de nuit : c’est que la saison n’est pas finie (ça ne saurait tarder) et il y a encore pas mal de bateaux de location.

    On ne déroge pas à la règle ; une pendille contre un repas au resto du lieu.

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    06 à 08 octobre

    Tout démarre (ou tout finit?) à Marmaris !

    Yat Marin (ou Yacht Marina pour les anglicisants)  nous accueille dans son immense parc à bateaux (600 places à quai et 1000 places à terre)

    C’est ici que Simo et JY ont choisi de laisser Tubalcain passer l’hiver au sec.

    JiPi est éberlué de voir toutes les facilités qu’il y a ici : les shipchandlers, les ateliers divers existent ici en quantité et sont très bien achalandés : le rêve pour notre marin-bricoleur !

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    La piscine est superbe, le resto est excellent et moins cher que dans les « pontons-restaurants ! »

    Beaucoup de monde ici, avec pas mal de français : nous y rencontrons Jacqueline et Patrick sur leur Prélud’euX (pour ceux qui connaissent, oui, c’est LE Patrick du RIDS) qui terminent ici leur croisière avec leur fille.

    7km en dolmus à travers les pins nous amènent à la ville de Marmaris, très touristique : d’innombrables « Gulets » attendent encore le client.

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     Yat Marin c'est tout au fond

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  • Nous revoilà, nous revoici, Symi !

    ... avec Tubalcain cette fois

    Vive le vent, vive le vent … de méditerranée

    Départ vers l’Est avec 20 nds de vent portant. Par précaution-on ne sait pas ce qui nous attend derrière le cap- nous prenons un ris dans la GV.

    Enfin du vent, et portant en plus, ça nous change !

    Tout contents de ce petit vent qui nous pousse à plus de 7 nds vers notre prochaine destination, Symi que nous voulons faire découvrir à Simo et JY.

    15 min plus tard :

    « - Tutu enroule son génois !

    -         ??? »

    Eh oui, derrière le cap c’est un vent- enfin quand je dis vent… - d’Est à 0,5 nds qui nous attend : la pétole quoi !

    Et c’est reparti pour une risée Yanmar.

    Le passage entre les îles (80 mde large, 4m de profondeur)  et la vue sur le mignon port de Symi nous console de notre déconvenue.

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    Décidément l’architecture des îles grecques c’est autre chose et le charme de ces petites îles est indéniable.

    Cette fois pas de longue marche. Seulement la 1/2h nécessaire pour rejoindre notre plage préférée (aurait-on déjà des habitudes ?)

     

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     Une bonne nuit nous attend.

    Une bonne nuit ?

    4h30 : les coqs s’interpellent d’une colline à l’autre

    5h30 : gros fracas ! Le tonnerre ?

    Non, un bateau qui relève son ancre et qui doit être pris dans notre chaîne.

    Mais le pb semble plus grave puisqu’il n’ arrive pas à se dégager. JiPi et JY essaient de l'aider avec l’annexe de Tutu, mais rien n’y fait. Il faudra faire venir le boulanger.

    ???

    Oui, il est aussi plongeur à ses heures ! Ah, bon. Mais là il est 7h et il est devant son four…

    IL s’avérera plus tard que l’ancre du navire était prise dans la chaîne-mère des bateaux locaux. Il paraît que la semaine dernière un voilier a largué ses amarres et est parti à fond la caisse… en ayant oublié de lever son ancre !!! Quel carnage !

    Enfin, cela fait partie des autres  joies de la méditerranée.

    Le reste de la journée sera calme… enfin presque puisque Tutu devra remouiller pour cause de chaine relevée par un autre bateau, ainsi que notre voisin qui a eu, lui, carrément son ancre emportée par le voilier d’en face – en fait le pb c’est que les bateaux mouillent très loin d’un côté et de l’autre, après c’est une question de hasard pour que les chaînes s’emmêlent-

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    03 10 Tutu ayant fait son plein de vin nous repartons vers la Turquie.

    Faux départ !

    Tubalcain part le premier, sans problème. A nous !

    -         Largué ! c’est bon ?

    -         Ah non, bloqués ! 

    Après quelques essais infructueux, nous sommes obligés de nous rendre à l’évidence : l’ancre n’est pas passée sous une autre chaîne – pb relativement facile à résoudre avec un bout’ passé sous la chaîne de l’autre (qui hélas devra sans doute « remouiller ») le temps de dégager l’ancre- mais elle est coincée sous un rocher ou une chaîne-mère. En fait elle a du être déplacée hier matin lorsque le bateau  nous a réveillés car elle n’est plus du tout là où nous l’avions posée…

    Il faut faire appel au plongeur. aik^fghba !!!

    Retour à notre place. Pendant ce temps, Tutu tourne et vire et Simo fait des photos.

     ** pour passer le temps(1)

     

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    Pour la petite histoire, Symi, une des îles du Dodécanèse,fut longtemps le paradis des pêcheurs d'éponges avec l'île voisine de Kalymnos, qui seule possède encore la dernière flotte. Les éponges viennent maintenant en majorité de Floride ...

    JiPi part chez le boulanger.

    -         Est-ce bien le moment ???

    -         Ben oui, entre deux fournées c’est lui qui vient au secours des marins en détresse ! tu suis pas, là !

    -         pardon, j'avais oublié !

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    vous les chèvres, on ne rigole pas, silence dans les rangs !

    On attend.

    Pendant ce temps Tutu vire et tourne…

        **pour passer le temps(2)



    dans la mythologie grecque, Symi fut la lieu de naissance des Trois Grâces et tire son nom d'une des épouses de Poseïdon.


    Voilà, la fournée est sortie du four et notre boulanger-plongeur arrive. Mais il s’avère que l’affaire est plus compliquée : non seulement l’ancre est coincée sous un gros bloc de ciment (l’amarrage des pêcheurs voisins) mais la chaîne s’y est mise aussi.

    Il faut démonter l’ancre et y attacher un grand bout’ (tout se passe à 10m de fond) pour dégager d’abord la chaîne.

    Ah oui, mais notre plongeur-boulanger doit aller changer de bouteille et remettre une fournée en route car les touristes du ferry vont débarquer en masse !

    Pendant ce temps, Tutu tourne et vire… et se fait « virer » par les autorités  car 2 gros ferries arrivent et mouillent en travers du port. Nous convainquons enfin Simo et JY de nous "abandonner" pour aller vers Bozburun où nous les rejoindrons bientôt.

      ** pour passer le temps (3)

    en 1373, l'île fut conquise par les chevaliers de l'ordre de St Jean de Jérusalem (ordre de Malte)

    25 min plus tard, retour du plongeur (ou du boulanger ) et cette fois c’est la bonne. Ouf !

    Lestés de 150€ , c’est le tarif grec,- la même mésaventure nous est arrivée à Mykonos l’an dernier- nous voici en route pour la Turquie.

    SYMI, une bien belle île, ses sentiers pierreux et escarpés, ses plages, sa boulangerie et ses fameux croissants aux pommes chaudes, son piège à ancres … mais nous reviendrons, c’est sûr.

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    certaines photos, les plus belles (...)dont celle-ci sont de Christian d'Agapanthe II; Merci à lui

  • au revoir Symi, bonjour Cnide

     "geia sou" (ya sou"), au revoir les amis ! 

     

    "merhaba", bonjour les amis !

    Nous quittons Agapanthe pour rejoindre Tubalcain dans le beau site antique de Cnide (pour la description des lieux vous pouvez relire le récit du 06 mai –fameuse date !- )

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     Cnide vue du côté port de commerce ( là se trouve le mouillage)

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    Cnide vue du côté port des trirèmes (envasé)

    28-30 Turgutreis

    Le port de Bodrum ne pouvant ( ?) pas nous accueillir pour 2 jours nous faisons route vers D-Marin Turgutreis.010 de CNIDE à TURGUTREIS (3).JPG

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    De là nous pourrons prendre un dolmus pour visiter Bodrum   

     le théâtre domine la ville 

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    La citadelle de Bodrum

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    Les pierres ont été « piquées » au tombeau de Mausole dont il ne reste que les fondations.

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    Sovereign of the Sea





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    belle collection d'amphores

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    masque, lion, coq et autres figures locales ...


     



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    La ville est très touristique. Le festival du film turc s’y déroule et nous avons eu droit à une petite démonstration de danse turque

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     les danseurs se donnent à fond ! il y a même une troupe de brésiliens qui dansent la capoheira (sommes arrivés trop tard !)

    il est beau, il est frais mon poisson !

    Dans la région on peu acheter son poisson à la poissonnerie et le manger dans le resto voisin : on ne sait pas s'il vient de la ferme marine voisine ou de la pleine mer, mais on sait au moins qu'il est frais puisqu'on a pu le regarder dans les yeux !

     

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    Nous avons retrouvé à Turgutreis SOLSTICE à Muriel et Luc, que nous avions connus lors du RIDS en 2009/2010.

    Güle, Güle !

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    Christian- celui de Tutu- nous quitte le 30 : il repart vers l’Ouest retrouver sa dulcinée qui l’attend en Vendée. On est un peu triste de perdre un compagnon si agréable mais on sait qu’on le reverra bientôt.

    Ciao Christian ! Güle, güle !

  • on s'immisce à Symi

    25 – Sumi (Grèce)

     Les formalités de sortie de Daça doivent être faites par l’intermédiaire d’un agent- il parle français ce qui facilite les explications. Nous referons les formalités d’entrée à notre retour le 29 (nos « 90 jours en 180 jours » ayant alors expiré nous repartons à 0.

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    Le petit port de Symi est un enchantement, l’architecture des îles grecques nous plaît énormément. C’est avec plaisir que nous retrouvons nos amis d’Agapanthe, Marie-Christine et Christian : prévenus de notre arrivée ils ont retardé leur départ pour passer un moment avec nous. Sympa !

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    Après midi plage après 1/2h de marche le long de la jolie baie de Niborio.

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    un monastère parmi d'autres



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    Le soir nous dégustons les crevettes roses de Symi, pêchées à 30m de fond.

     26 La longue marche

     

    Ch et M-C décident de nous emmmener dans la baie de Toli.

    - 2h de marche en montagne, dont une d’escalade dans les cailloux, ça ne vous fait pas peur ?

    - Euh, un peu oui, mais la promesse d’une vue exceptionnelle là haut nous décide…

    C’est qu’on ne fait plus beaucoup d’exercice en ce moment (les risées Yanmar étant plus fréquentes que les risées venteuses)

    Effectivement la première heure de montée est un peu éprouvante mais la récompense est à la hauteur des efforts consentis !

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    Côté Est le port de Symi,         côté Ouest la baie de Toli aux eaux turquoise.

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    Devant le monastère un arbre centenaire prodigue généreusement une ombre bienfaisante.

     

     


    La descente dure une heure (route et chemin de terre) et les transats à l’ombre des parasols accueillent avec bonheur nos corps fourbus.009 Symi Christian 1 (36).JPG

    Le bain délassant nous ouvre l’appétit et le restaurant de la plage est le bienvenu.

    Après une courte sieste et un bain,  il est temps de repartir : la montée est rude pour nos mollets de citadins (je parle de JiPi et moi) pour la descente, Christian nous propose de prendre un raccourci. Aïe, aïe, connaissant Ch. et ayant entendu de la bouche de M-C le récit de leurs précédentes expéditions, on peut avoir une petite appréhension.

    Bon, ce n’est pas le mont Blanc tout de même ! Nous décidons donc de lui faire confiance. De toute façon la mer, c’est par là… euh, on est sur une petite île, la mer c’est partout !

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    Bientôt le sentier se transforme en chemin de chèvres et nous nous griffons les mollets dans les buissons de thym sauvage –ça sent bon !- et soudain, y a plus de chemin du tout… Mais si !  le lit d’un torrent à sec ça va nous mener forcément à la mer, non ? chose dite, chose faite. Mais ce lit n’est pas fait de gentils galets mais de gros blocs de rocher qu’il nous faut descendre avec prudence. (après les chevilles, ce sont nos mollets qu’il faut ménager !

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    Rencontre avec une tortue, comment fait-elle pour ne pas se retrouver sur le dos dans ces cailloux ?

    1/2h plus tard : « qalassa ! la mer ! »

    Nous sommes arrivés sains et saufs au fond de la baie de Niborio, youppie !

    On ne se lasse pas du spectacle : une petite maison à flanc de falaise ne serait pas pour nous déplaire.

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    Baie de Niborio

    Un dernier bain sur notre plage préférée avec un poulpe farceur qui nous chatouille les mollets et on attaque la dernière 1/2h de marche.

    M.C. nous prépare un délicieux repas(du porc !) sur Agapanthe.

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    COOL... la vie de moine en Grèce ?

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    encore un monastère, accessible seulement par la mer.

     

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    et un autre !

  • de mouillages en petits ports...

    Du 18 au 24 septembre

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    baie de Bozburun [ 36°40'09 N/ 028°01'30 E]

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    Bozburun est un charmant petit port et le restaurant "Lokum Manti Evi" (place Ataturk)propose une spécialité de raviolis locaux -les "manti" (prononcer manteu) servis avec une sauce au yahourt. Délicieux !004b Mouillage Bozburun (9).JPG


    l'or d'ORHANIYE    : nous mouillons en face de Marti Marina derrière l'îlot Kale surmonté d'un fort byzantin.  [36°45'59N : 028°07'44 E]

    dure, dure, la vie

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    fort byzantin gardé par les lapins ! nous en verrons des dizaines sur la plage.

    tiens, vla laaa Suis' !

    5 milles plus loin, la  baie profonde de Selimiye nous tend les bras

    [36°42'51 N/ 028°05'35 E]

    on dirait un lac suisse avec l'eau à 28° et les chèvres remplaçant les bouquetins !

     

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    une sieste le c... dans l'eau, ça vous tente ?

    JiPi opte pour le bricolage...

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    Le resto « Luna Begonville »(= bougainvillées)  offre son quai et ses pendilles en échange d’un repas face aux bateaux.

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    La petite bourgade est touristique mais avec goût…

     

    23 Kokabahçe [36°41’88 N/ 028°00’51 E]

    le paradis des chèvres ?

    C’est une jolie baie encaissée. Au fond une plage avec chèvres, un restaurant « Sailor’sParadise », un ponton et quelques coffres, pas d’accès par la route.

    Accueillant… 007 Kokabahce Sailor's Paradise (13).JPG007 Kokabahce Sailor's Paradise (4).JPG





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    24 Daça

    Petit port sympa. On mouille sur ancre et on s’amarre au quai. Ici on paie une somme raisonnable et c’est Tutu qui fait restaurant ! Champagne offert par Christian et baron d’agneau-pdt sautées confectionnés pas Simo. Excellent.

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  • faut pas dé...kau-ner !

    16 ET encore un sac, un !

    Nous voici en route pour Ekinçik (36°41’62N/028°37’33 E) risée Yanmar. A 7 milles de l’arrivée, grand coup de frein !

    Je me précipite sur la manette des gaz pour mettre au point mort. Un essai de moteur débrayé confirme nos craintes : il y a quelque chose dans l’hélice !

    Comme notre échelle de bain n’est pas réparée JP hésite à se mettre à l’eau (il y a un peu de houle) et nous décidons de pousser jusqu’au port à 3 nds avec le gênois. Tutu reste sagement à nos côtés, au cas où …

    L’arrivée au ponton se fait sans encombre grâce au marin  qui nous freine avec son annexe. Et voilà Christian qui nous présente un superbe sac en plastique tissé (il s’est défait de l’hélice lors de l’arrêt de Vanille), que nous pouvons ajouter à notre collection.-pas de photo cette fois de l'objet du délit-

    Encore un « ponton-restaurant » très utile pour laisser le bateau et aller visiter Kaunos et les tombes lyciennes de Daylan.

    La crique est dominée par les falaises et il faut grimper pour trouver les sanitaires dans une jolie maisonnette cachée par les oliviers. On chausse des socques de bois pour y entrer !

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    Le resto est encore plus haut (le repas se mérite) avec vue sur la baie.

    Bon repas dans un décor rustique bien travaillé.

     

    17 : faut pas dé « kaun »er !

    Nous louons un « promène-c… » à 5 pour Dalyan

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    Belle grotte avec Stalactites

     

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    Plage aux tortues de son vrai nom Iztuzu. Les bébés tortues sont déjà parties, il reste quelques « vieilles » qui sont restées dans la lagune, nouries par les pêcheurs pour le plus grand plaisir des touristes.


    traces des bébés tortues

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    un des Crabes bleus qui fera notre régal ce soir à l'apéro

     

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    Remontée dans les roseaux.


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    Barrage de pêche appelé "Dalyanlar"

    Au pays des "petits hommes verts"

    le site de Kaunos( ou Caunus) : ce port, fondé au IX ème S. Av J-C, se retrouve à 5 km de la mer à cause des alluvions de la rivière Dalyan. Dans l'Antiquité, ses habitants avaient le teint verdâtre couleur due sans doute au paludisme héritée de la proximité des marais !

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    au loin, la mer...

     

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    tombeaux rupestres en face de la ville de Dalyan : ce sont des tombeaux de style LYCIEN  dont la façade évoque des temples.

     

     

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